PRESSE
«A-t-on le souvenir d’avoir été aussi chamboulé à l’opéra ? Enigma, d’Éric-Emmanuel Schmitt et Patrick Burgan, dont c’était la première dimanche après-midi à l’Opéra de Montréal, vise dans le mille (…) La musique de Burgan, d’une accessible complexité, décuple le potentiel expressif du livret.»
La Presse – avril 2024 (reprise d’ENIGMA à l’Opéra de Montréal)
«Enigma est magnifique et éblouissante, on ressort de cet opéra avec de nombreuses réflexions et un peu abasourdis par la beauté.»
MatTV – avril 2024 (reprise d’ENIGMA à l’Opéra de Montréal)
«L’Opéra de Montréal a de nouveau frappé l’or avec une œuvre captivante et moderne qui plaira au grand public. La riche partition de Patrick Burgan est une œuvre accomplie : accessible, attrayante et bien orchestrée. Enigma, un merveilleux traité sur l’amour et sa nature mystérieuse, est un véritable tour de force. La partition puissante de Patrick Burgan est évocatrice et convoque sans effort diverses humeurs.»
ConcertoNet – avril 2024 (reprise d’ENIGMA à l’Opéra de Montréal)
«Dans la fosse, plus de quarante musiciens dirigés par Daniel Kawka nous plongent dans la musique intense de Burgan, où les dissonances et les audaces harmoniques ajoutent de la couleur aux vives émotions véhiculées sur scène.»
Les Arts-Zé – avril 2024 (reprise d’ENIGMA à l’Opéra de Montréal)
«La musique de Burgan, bien rendue par I Musici, est luxuriante, … elle cède aussi la place à quelques moments a capella d’une efficacité redoutable.»
Théâtralités – avril 2024 (reprise d’ENIGMA à l’Opéra de Montréal)
«Les insertions d’extraits des Variations Enigma d’Elgar, plus ou moins retravaillées, sont totalement justifiées, et voulues par Eric-Emmanuel Schmitt, quand est évoqué le personnage d’Hélène. Elles sont extrêmement habiles et bien tournées (…) Ayant déjà dirigé la création à Metz, Daniel Kawka maîtrise admirablement une partition très riche.»
Le Devoir – avril 2024 (reprise d’ENIGMA à l’Opéra de Montréal)
«Patrick Burgan ayant rendu sa musique nécessaire, en apportant au texte un surcroît de lyrisme, (…) réussit à dramatiser une situation tendue, dont les arrière plans et les non-dits, précisément, participent de cet au-delà des mots qu’on appelle la musique.»
Opéra Magazine – février 2023 (à propos de la création d’ENIGMA à l’Opéra de Metz)
«Patrick Burgan a composé une partition de toute beauté, qui ne recule ni devant les dissonances et les hardiesses harmoniques, ni devant les élans et les emportements mélodiques (…) remarquable par son souffle lyrique et son efficacité dramatique. La somptuosité enivrante de l’orchestration aura sans doute compté pour beaucoup dans l’accueil très chaleureux manifesté par un public clairsemé, mais visiblement et très sincèrement enthousiaste.»
Resmusica – novembre 2022 (à propos de la création d’ENIGMA à l’Opéra de Metz)
«…un orchestre érigé au rang de personnage, foisonnant de couleurs boisées, cuivrées et de percussions (…) L’amateur d’art lyrique français applaudira un ouvrage « tous publics » finement élaboré.»
Diapason – décembre 2022 (à propos de l’album CD/DVD Peter Pan)
«La musique essentiellement rythmique de Burgan est très colorée et efficace et peut caractériser tout le fantastique qui se passe dans l’histoire… l’orchestre n’est pas un accompagnement des voix, mais joue son propre rôle, exprimant ce que les personnages ne disent pas.»
Pizzicato (Luxembourg) – décembre 2022 (à propos de l’album CD/DVD Peter Pan)
«La sortie CD et DVD du Peter Pan de Patrick Burgan fait l’événement, quelques seize années après la création du spectacle au Théâtre Zingaro d’Aubervilliers. L’écriture est somptueuse, privilégiant une scansion rythmique toute stravinskienne (on pense aux Noces) Précisons que le DVD s’accompagne de deux CD mettant en valeur la riche partition de Patrick Burgan que l’on peut aussi apprécier sans les images.»
Resmusica – juin 2023 (à propos de l’album CD/DVD Peter Pan)
«On pense forcément à Ravel et à L’enfant et les sortilèges dans la façon poétique dont Patrick Burgan a de nous emporter dans un certain imaginaire. Il montre surtout sa capacité à jouer avec la narration, les couleurs musicales (tant mélodiques que rythmiques), de faire en sorte que la technique compositionnelle soit au service du texte, de sa compréhension, des émotions.»
Froggy’s Delight – janvier 2023 (à propos de l’album CD/DVD Peter Pan)
«L’imagination sans limite qui caractérise l’œuvre musicale et théâtrale de Patrick Burgan trouve dans le mythe de Peter Pan un terrain fertile et plein d’une exubérance réjouissante. Cette parution confirme l’importance du rôle joué par Patrick Burgan dans la création musicale actuelle dont cette parution constitue un jalon supplémentaire.»
Classic Toulouse – mars 2023 (à propos de l’album CD/DVD Peter Pan)
« Une belle anthologie qui confirme l’importance de Patrick Burgan dans le paysage musical contemporain»
Classica – avril 2020 (à propos du CD Sphères/Le lac/Vagues)
« Le lac…vaste poème symphonique dont la nostalgie pénétrante captive l’attention depuis l’ample méditation initiale d’un violoncelle solo préfigurant le chant, jusqu’à la dissolution de la matière sonore. La régularité des pulsations (le bruit des rameurs?) semble appeler celle des vers tandis qu’une subtile alternance d’intervalles mélodiques tendus, placides ou rayonnants suggère ces aspirations douloureuses ou la sérénité qui sont au coeur du poème. Sans nulle redondance cependant tant la ligne vocale se garde de souligner les mots. Les cinq pièces brèves de Sphères : orchestration virtuose, climax terrifiants »
Diapason – janvier 2020 (à propos du CD Sphères/Le lac/Vagues)
« Déferlements sonores, trames vibrantes, énergie furibarde et brutalité du geste percussif s’exercent dans Vagues, au sein d’un univers orchestral jubilatoire »
Resmusica – avril 2020 (à propos du CD Sphères/Le lac/Vagues)
« La musique de Patrick Burgan possède un pouvoir suggestif, propre à nous exercer aux questions métaphysiques ! Écouter ses œuvres revient à être confronté à la Création par le canal de l’écoute. Un voyage au cœur des vibrations dont nous ne retirons qu’émerveillement »
ENA Magazine – avril 2020 (à propos du CD Sphères/Le lac/Vagues)
« Créé en 1990, Vagues est une peinture sonore d’un effet tout à fait impressionnant. Le compositeur exploite à merveille les possibilités timbrales de l’orchestre dans ce splendide enregistrement à la tension considérable »
Pizzicato – octobre 2019 (à propos du CD Sphères/Le lac/Vagues)
« L’orchestre ductile et aérien de Patrick Burgan »
MusikZen – janvier 2020 (à propos du CD Sphères/Le lac/Vagues)
« Le compositeur fait partie de ceux qui parviennent à conjuguer modernité du langage, sans concession ni facilité, d’une part, impact expressif et jubilation sonore, de l’autre. Le lac : une véritable réussite vocale et orchestrale. Les cinq Sphères : bluffantes et spectaculaires »
ConcertoNet – décembre 2019 (à propos du CD Sphères/Le lac/Vagues)
« Ces trois œuvres qui respirent le même souffle dressent un excellent portrait de ce compositeur rare »
Utmisol – Avril 2020 (à propos du CD Sphères/Le lac/Vagues)
« La musique de Patrick Burgan peut également se caractériser par une construction presque mathématique, quelque chose de sensoriel, d’émotionnel, une force dramatique qui conduit tout naturellement à des « méditations poétiques »
Froggy’s Delight – octobre 2019 (à propos du CD Sphères/Le lac/Vagues)
«Les vers du poète sont comme analysés musicalement et délivrés avec finesse et intensité par la soprano Valérie Condoluci (à propos du Lac). L’Orchestre national de France, dirigé par Pascal Rophé, rend pleine justice aux miroitements sonores de l’œuvre (à propos de Sphères). Tout aussi colorées que dans l’œuvre précédente, les étapes recèlent quelques pépites d’une séduction immédiate (à propos de Vagues) »
ClassicToulouse.com – octobre 2019 (à propos du CD Sphères/Le lac/Vagues)
« Une très belle anthologie »
Musique classique & Co – septembre 2019 (à propos du CD Sphères/Le lac/Vagues)
« L’œuvre de Burgan frappe avant tout par la beauté des voix entremêlées, tantôt lyriques, tantôt élégiaques, qui chantent l’amour et la mort sur un mode intemporel (…) Le retour à une poésie et à une spiritualité marquées semble bien être l’une des voies les plus stimulantes de la création contemporaine »
Classica (Choc) – juillet 2018 (à propos du CD Les Spirituelles/Cantique des cantiques)
« A l’audace et aux abimes, Patrick Burgan préfère une lumineuse expressivité qui séduit par son goût. Celui d’un des plus intéressants polyphonistes français de son temps »
Diapason – juillet 2018 (à propos du CD Les Spirituelles/Cantique des cantiques)
« Avec ses tournures moyenâgeuses et la fantaisie de ses contours, « Que tu es belle » est une des pages les plus savoureuses du recueil, laissant apprécier la finesse et la sensualité des voix convoquées deux à deux »
Resmusica – juillet 2018 (à propos du CD Les Spirituelles/Cantique des cantiques)
« Sommet d’expressivité à l’orchestration étonnamment colorée. L’homogénéité dense des voix porte les couleurs chatoyantes d’une partition qui célèbre la vie plus que la mort »
Le Figaro – 18 janvier 2017 (à propos du CD « Requiem »)
« Une œuvre impressionnante qui devrait intéresser un large public, éloigné des querelles intestines du milieu musical contemporain »
Classica – décembre 2016 (à propos du CD « Requiem »)
« Les sonorités étonnantes du Dies Irae, l’utilisation tout à fait particulière des instruments pour produire des effets de timbres inattendus, font de ce Requiem une pièce musicalement très originale qui captive l’auditeur pendant une heure »
Pizzicato – à propos du CD « Requiem »
« Frottements harmoniques, sens du théâtre et un grain de folie comme dans son récent poème symphonique pour trombone et orchestre La Chute de Lucifer : opiniâtre, Burgan s’y distingue par la crudité aiguë de son écriture »
MusikZen – à propos du CD « Requiem »
« La puissance du texte latin du Requiem, traité ici in extenso, libère un imaginaire sonore flamboyant où s’opère l’alliage du Verbe et de la matière sonore »
Resmusica – à propos du CD « Requiem »
« Sous la résonance des cloches tubes et dans une plénitude micro-polyphonique, la clameur finale est saisissante »
Resmusica à propos du CD « 1213-Bataille de Muret »
« Le raffinement et la subtile mesure de l’écriture de Patrick Burgan assure une partition irrésistible par l’enchaînement de ses climats à la fois enivrés, hypnotiques, suspendus, hallucinés (soliloque du trombone funambule du second mouvement Révolte). La partition est un chef d’oeuvre et une œuvre capitale même qui s’impose ainsi naturellement dans la littérature pour trombone. »
Classiquenews – 21 octobre 2014 (à propos de « La chute de Lucifer » in CD « French trombone concertos »)
« L’ovation debout qui accueille cette création mondiale fait chaud au cœur. Elle démontre que la musique d’aujourd’hui peut parfaitement trouver sa place auprès de tous les publics »
ClassicToulouse.com – 14 septembre 2013 (à propos de 1213-Bataille de Muret)
Dix minutes d’applaudissements ininterrompus ont salué cette magnifique création qui devrait porter l’évocation de la bataille au-delà de Muret.
La Dépêche du Midi – 19 septembre 2013 (à propos de 1213-Bataille de Muret.)
…Bernard Haas créa D.G. in memoriam de Patrick Burgan, commande de TLO, vaste Fantaisie en 6 tableaux sur le nom de Xavier Darasse, évocation de l’opéra inachevé de Darasse d’après Le portrait de Dorian Gray d’Oscar Wilde. Œuvre dense, poétiquement structurée, tour à tour mystérieuse, haletante et d’un lyrisme échevelé, admirablement restituée par l’interprète – de celles que d’emblée l’on souhaiterait réentendre.
concertclassic.com (National) – 30 octobre 2012
… l’intense Absence, d’une poésie intemporelle…
La Lettre du Musicien – Novembre 2012
L’écriture musicale progresse par brouillards successifs, passant d’un carrefour à l’autre, sans jamais emprunter de voie claire et définie. Ce don de la réinvention permanente, qui parcourt presque toute l’œuvre de Burgan, caractérise par contrecoup les Éléments.
Qobuz.com – 29 octobre 2012 (à propos d’Absence.)
Absence de Patrick Burgan permet de déguster un texte subtil et un art du chant particulièrement délicat. Les infimes nuances des chanteurs ont ouvert un monde de pure poésie.
Classiquenews – 25 octobre 2012
Avec l’art consommé qu’on lui connaît, Patrick Burgan masque par l’éloquence picturale de son inspiration une magistrale technique d’écriture qui nous conduit de magmatiques bouillonnements d’agrégats en contrepoints de couleurs entre des strates instrumentales constamment en mouvement. Le mouvement central peint les combats entre les anges rebelles et les troupes célestes, mais c’est aussi une très habile fugue dodécaphonique, avant le profond dramatisme de la plongée dans l’Abîme.
L’Education Musicale – Avril 2010 (à propos de La chute de Lucifer)
Imposant … le figuralisme de tel passage sur les mots « het zwaluwt en’t zwiert en’t zwatelt » fait sonner les voix comme une frénétique volière … la fugue sur « de hazel-noot » est d’une impressionnante construction … la dernière section « een bladje op het water » est un océan d’harmonies ondoyantes.
De Volkskrant – 18 mars 2010 (à propos de Het Zielebladje)
Bénéficiant de l’effet d’annonce du Requiem de Mozart, la remarquable partition Nativités de Patrick Burgan en première partie du concert a été une belle surprise pour beaucoup. Ces deux œuvres forment un programme très riche en complémentarités. Le compositeur, venu présenter en quelques mots ses Nativités, en a donné modestement quelques clefs. Construite de manière fort savante elle s’écoute avec une facilité déconcertante. La naissance y est proposée dans sa dimension religieuse avec l’utilisation du texte du Stabat Mater speciosa, mais surtout profane avec des textes en cinq langues européennes. Le résultat est extraordinaire avec des superpositions et des associations de textes très originales. Les voix sont utilisées comme des instruments solistes ou en accompagnement, souvent une partie par voix. La virtuosité requise pour cette pièce de plus de vingt minutes et a capella, est terrifiante. Le chœur de chambre Les Eléments est rompu à toutes les difficultés et les audaces des créateurs d’aujourd’hui…
Res Musica – mai 2009
Feux pour violoncelle seul a été écrit en 2007 à la demande de Damien Ventula, juste après la création au théâtre du châtelet de l’opéra Peter Pan. On sent dans l’écriture de Patrick Burgan comme la libération d’une énergie qui, après s’être répartie sur trois ans au travers d’une œuvre à grand effectif, soudain se concentre sur un seul instrument. Le premier mouvement Bacchanale est particulièrement saisissant par sa fougue et son caractère dramatique, tout en conservant une forme de musique pure. Le troisième mouvement Pansori – nom de l’opéra traditionnel coréen – repose sur un discours dépouillé et percussif. Il donne à l’ouvrage un axe de concentration inattendu et crée l’équilibre avec le final virtuose.
Res Musica – novembre 2007
« Cette fantaisie lyrique en trois mondes (présent, passé et imaginaire), livret et musique de Patrick Burgan d’après l’œuvre de James Matthew Barrie, est une partition illuminée par la magie des timbres instrumentaux, riche d’invention rythmique et de sortilèges harmoniques. Depuis Hänsel und Gretel ou L’Enfant et les Sortilèges on n’a peut-être pas paré le monde de l’enfance d’un vêtement plus séduisant (…) A en juger par le tonnerre d’applaudissements qui a salué sa création, le 21 mai, au Théâtre Zingaro d’Aubervilliers, cette commande du TMP-Châtelet a atteint son but. «
Le Monde – décembre 2006 (à propos de l’opéra Peter Pan)
« Patrick Burgan nous livre un Plaisir originel dont certaines parties atteignent une grande finesse, parfois très émouvantes, (…) créant des harmonies subtiles et souvent magnifiques. «
Le Monde de la musique – novembre 2005
» « Mystère hystérique» sur un poème d’Edmond Haraucourt (L’Eden) pour le même effectif, Le Plaisir originel de Patrick Burgan, plus abouti, revêt la force d’un petit drame vocal serré, grâce à des moyens d’expression raffinés et très direct. »
Diapason – novembre 2005
« Il travaille la souplesse de l’embrassement entre poésie et musique sous toutes les facettes qu’autorisent les effectifs les plus variés (…), il projette la réflexion du texte à travers des prismes musicaux renouvelés mais toujours amoureusement offerts à la beauté du substrat poétique. »
L’éducation musicale – mai/juin 2004
« La partition regorge de trouvailles : l’écho chanté se superposant à la voix de Narcisse, les polyphonies de percussions et de voix, la sensualité comme suspendue de certains moments. »
Le Monde de la Musique – Avril 2000 (à propos de l’opéra La source des images)
« La création mondiale d’Audi Coelum de Patrick Burgan, vraie densité musicale et raffinement poétique fascinant. »
Diapason – novembre 1998
« Avec ses Géhennes, composées à la mémoire de Gérard Grisey, Patrick Burgan livre probablement la pièce la plus originale de l’album. Une oeuvre tellurique, énergétique. »
Diapason – mai 2000
« Si beaux, ces glissements dans les poèmes de Lorca et Marchado mis en musique par Patrick Burgan. Il y a du Gesualdo dans cette pudeur intense, immense. »
Répertoire – Septembre 1999 (à propos de La puerta de la Luz)
« Burgan, stimulé par le grand galbe de la poésie espagnole, trace des lignes qui sont comme la personnification sonore d’une beauté idéale, au milieu d’un contexte abstrait et sensuel à la fois. »
Classica – Septembre 1999 (à propos de La puerta de la Luz)
« Ces quatre poèmes de Garcia Lorca et d’Antonio Machado prennent la forme d’un vaste madrigal et donnent lieu à un traitement musical diversifié qui joue sur les différentes formes de vocalité et la mise en valeur des unités du texte. Accélérations subites, clairs-obscurs, fond planant, techniques instrumentales psalmodie : tout y est ! »
La Lettre du Musicien – juin 1999 (à propos de La puerta de la Luz)
« Cette musique, révélatrice d’un véritable talent créatif, est un travail magistral, tant par la logique, l’originalité et la beauté du flux purement sonore que par l’adéquation entre les contenus poétique et musical. »
ABC (Madrid) – 22 mai 1997 (à propos de La puerta de la Luz)
« Admirable Puerta de la Luz du compositeur Patrick Burgan ! Que d’émotion dans ce grand drame tournant autour de l’enfant et de la mort. »
Le Méridional – 14 avril 1997
Ce vaste drame mettant en scène l’enfant avec les ténèbres, le rêve et la mort, autant d’arcanes funèbres pour amener les voix jusqu’au bout d’une immense déploration, jusqu’à l’ultime vers : « Vous m’avez laissé sur une fleur d’obscurs sanglots liquides ». Précision, rigueur, les voix de Musicatreize avaient conduit le très nombreux public vers des sommets d’émotion.
Le Provencal – 15 avril 1997 (à propos de La puerta de la Luz)
« Patrick Burgan est sur tous les fronts de la création musicale. »
Télérama n° 2486 – 3 septembre 1997
« Le Stabat Mater de Patrick Burgan chante une trinité de détresse, tristesse, douleur qui raconte (…) De l’émotion à l’état brut.
Le Méridional – 14 avril 1997
Si les deux pièces extrêmes, intérieures et sourdement plaintives, ont invité au recueillement, la pièce centrale, violente et lumineuse, s’est associée au reflet de juillet dans les vitraux pour enthousiasmer l’auditoire.
Le Berry républicain – juillet 1997 (à propos de Soleils)
« Il sait varier avec science les couleurs de sa palette et obtient des tonalités et des rythmes imprévus (…) Patrick Burgan est un jeune compositeur à la sensibilité incontestable. »
Le Monde de la Musique – Décembre 1995
» La puerta de la Luz fait alterner quatre textes de Garcia Lorca et Machado qui sont tenus dans un discours parfaitement construit, jusqu’à admirable quand la « petite chanson de l’enfant qui n’est pas né » lorquienne introduit une voix de contralto – excellente la soliste entendue – réussissant alors une splendide désolation grâce à ce moment qu’il faut reconnaître comme véritablement inspiré. »
ABC (Madrid) – 29 mai 1994
« Burgan a du talent et il est l’un des futurs grands compositeurs français. »
Diario 16 (Madrid) – 27 mai 1994
Patrick Burgan, pour sa part, montra dans Sources qu’il aime à taquiner les timbres des instruments et qu’il sait maintenir dans un parfait contrôle les proportions de son œuvre.
ABC (Madrid) – 19 février 1994
Avec Ison, magnifique pièce pour orgue, Burgan lance encore ses flots d’expressivité, son dramatisme extraverti, comme il le fit il y a quelque semaines dans son œuvre Cristallin.
ABC (Madrid) – 21 mai 1993
Cette dernière pièce, Ex Maria virgine, a quelque peu désarçonné une partie du public venu entendre le dialogue entre l’orgue et les fanfares du quintette de cuivres Epsilon (…) Michel Bourcier a été le parfait serviteur de cette partition.
Le Figaro – 17 août 1992